Défendre les personnes vulnérables
Le Sénat a amendé le projet de loi C-7 afin d’élargir l’euthanasie aux personnes souffrant d’une maladie mentale et de permettre aux gens de faire une demande anticipée au cas où une maladie leur faisait perdre leur capacité mentale. Ce projet de loi supprime déjà la disposition sur la « mort raisonnablement prévisible », rendant ainsi admissibles à l’euthanasie les gens qui n’ont pas une maladie en phase terminale. Les défenseurs des droits des personnes handicapées protestent énergiquement contre ces changements parce qu’ils légitiment l’idée que la vie des personnes handicapées ne vaut pas la peine d’être vécue.
Veuillez signer ci-dessous pour dire à votre député fédéral que vous voulez qu’il vote contre ces amendements.
Défendre les personnes vulnérables
Le Sénat a amendé le projet de loi C-7 afin d’élargir l’euthanasie aux personnes souffrant d’une maladie mentale et de permettre aux gens de faire une demande anticipée au cas où une maladie leur faisait perdre leur capacité mentale. Ce projet de loi supprime déjà la disposition sur la « mort raisonnablement prévisible », rendant ainsi admissibles à l’euthanasie les gens qui n’ont pas une maladie en phase terminale. Les défenseurs des droits des personnes handicapées protestent énergiquement contre ces changements parce qu’ils légitiment l’idée que la vie des personnes handicapées ne vaut pas la peine d’être vécue.
Veuillez signer ci-dessous pour dire à votre député fédéral que vous voulez qu’il vote contre ces amendements.
Campagne d’Appel à la Conscience
Avec l’adoption de la législation sur l’euthanasie et le suicide assisté au Parlement en 2016, les provinces mettent maintenant en œuvre ce qu’on appelle «l’assistance médicale à mourir» (AMM). En Ontario et en Nouvelle-Écosse, les médecins sont obligés par leur ordre de réglementation de se référer à leurs profondes convictions morales, et dans certaines provinces, des pressions exercent sur les institutions confessionnelles pour autoriser l’AMM sur les lieux. Nous avons déjà réussi à faire adopter une loi sur la protection de la conscience au Manitoba et nous travaillons actuellement à l’adoption d’un projet de loi similaire en Saskatchewan. Écrivez une lettre à votre législateur provincial en utilisant les liens ci-dessous.

Le problème
Depuis le 17 juin 2016, il est désormais légal pour les patients de demander l’aide médicale au suicide au Canada.Malgré la protection limitée de la conscience dans la législation fédérale (projet de loi C-14) et la liberté de conscience inscrite dans la Charte canadienne des droits et libertés, il sont toujours des provinces où les droits de conscience sont menacés. En Ontario, par exemple, l’Ordre et les médecins et chirurgiens (OMCO) ont abandonné des milliers de médecins qui ne peuvent pas orienter les patients vers une aide médicale à mourir. Au Manitoba, le gouvernement a adopté le projet de loi 34, une loi qui protège les médecins, les infirmières et les pharmaciens de l’obligation d’effectuer ou d’aider à fournir une assistance au suicide contre leur conscience. Ce projet de loi a été adopté avec l’appui de tous les partis après que les législateurs du Manitoba ont reçu plus de 14 000 lettres dans le cadre de notre campagne Appel à la conscience. Chaque gouvernement provincial doit être encouragé à créer une législation garantissant que les médecins, les infirmières et les pharmaciens ont leurs droits de conscience protégés.
Si les travailleurs de la santé respectent les décisions des patients, ils se sont lancés dans la médecine pour sauver des vies et non pour y mettre fin.
La protection de la liberté de conscience
La coalition pour les SOINS de santé et la conscience représente un groupe d’organismes animés des mêmes idées, engagés à protéger la liberté de conscience des professionnels et des établissements de santé.
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